Find here the links to interviews and articles on Stéphanie …
* Stéphanie d’Oustrac, between the singer and the woman (ResMusica, 11 août 2021 par Jean-Luc Clairet)
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La mezzo-soprano, à peine rentrée de Tokyo (une nouvelle Carmen revue par Alex Ollé), pose ses valises à l’église Saint-Jean du Baly, succédant à Stéphane Degout, son récent Chorèbe troyen, avec un programme où « tout n’est que luxe calme et volupté ». Stéphanie d’Oustrac est une bête de scène qui emporte toujours le théâtre dans ses bagages.
Sa Didon de Purcell se fait d’abord entendre avant de se faire voir : elle remonte hiératiquement l’allée de la nef centrale jusqu’au piano de Colette Diard, reste un moment de dos, se retourne… Le Lamento de la reine de Carthage se pare d’un dramatisme à la puissance bien éloignée de l’intimiste version enregistrée naguère avec Héloïse Gaillard. La stupéfiante séduction du À Chloris de Reynaldo Hahn (assurément une des plus belles pièces de l’Histoire de la Musique) permet à Stéphanie d’Oustrac de peaufiner le dosage de ses effets face à l’extrême générosité de l’acoustique du lieu, et d’établir un contact tranquille avec le public. La plupart des pièces ont été gravées ou incarnés à la scène. Ainsi, des trois Duparc où la splendeur automnale de son mezzo trouve d’emblée à s’épanouir (L’Invitation au voyage ne se présentant plus, l’on découvre ce soir l’étonnant La Vie intérieure, qui permet à la diseuse d’emmener l’auditeur dans les zones les plus troubles du poème baudelairien). Ou encore de La Dame de Monte-Carlo, rôle avec lequel Stéphanie d’Oustrac séduisit en 2002 le jury des Révélations artiste lyrique des Victoires de la Musique. Le pitoyable destin de l’héroïne (ah, le Monte Carlo final envoyé au bord du vide de… l’estrade !) trouve dans la juste distance empathique, l’absolution d’un verbe cru à faire frémir les prie-Dieu : la soyeuse robe argentée de la diva dissimulait deux poches bien commodes pour évoquer le canaille de la cocotte croquée par Cocteau.
L’assistance est prête ensuite pour un pot-pourri des grands succès : le haut dramatisme de l’Air des lettres de la splendide Charlotte qu’elle a été à Nancy en 2018 et, à l’opposé du spectre, les fragrances rouées de son ahurissante Carmen pour Aix en 2017. Stéphanie d’Oustrac sait aussi s’amuser (et amuser son auditoire) de l’impromptu d’un trou de mémoire venu interrompre un Duparc, d’un enchaînement fauteur de trouble dans les remparts de Séville ou encore de l’adresse erronée d’une Berceuse de De Falla attribuée en bis à Villa-Lobos. Enfin, au fil de trois extraits de La Périchole (dont un Air de la lettre parfaitement désillusionnant et un Air de la griserie sous total contrôle), la chanteuse fait enfin prendre conscience de ce que même une opérette d’Offenbach peut receler de mélancolie. Le premier bis résume l’affaire : des Chemins de l’amour entre soupir et sourire, clignant de l’œil vers l’arrière-grand-oncle Francis…
Veillé par l’accompagnement précis et vigilant de Colette Diard (chef de chant, concertiste, enseignante au Conservatoire à rayonnement départemental de Lorient), un récital extrêmement attachant où, complice de son auditoire, Stéphanie d’Oustrac n’aura jamais laissé la cantatrice vampiriser la femme.
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* The Tokyo adventure did not leave indifferent... A very rock'n'roll Carmen/Winehouse ! (Bachtrack, Naomi Mori, 09 juillet 2021)
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D'Oustrac’s charisma as a rock star is apparent along with her splendid acting skills, portraying the character with boldness and sensitivity. Her hairstyle, tattoos, fashion and makeup completely resemble Winehouse, gorgeous, powerful yet vulnerable and always yearning for freedom. Her voice is strong but with mellow aroma, adding a touch of rock’n’roll spirit, well controlled in tempo and beautiful in her native French diction: an ideal Carmen and an impressive house debut. (She is also a glamorous woman, tall, sensual and with legs to die for.)
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The full article can be found here : A stunning Carmen by Àlex Ollé opens at New National Theatre | Bachtrack
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* Können und Fantasie für ein zündendes Programm (Zentraplus - 20.05.2021, Marinella Polli)
Die französische Mezzosopranistin Stéphanie D’Oustrac begeisterte sofort mit ihrer farbenreichen Stimme: zwischen ernster Tiefe und perlengleicher, virtuoser Leichtigkeit, von «Accourez hâtez vous» von André Campra zu «From Silent Shades and the Elysian Groves» zur letzten Arie des Programms «Souffrez que l’amour vous lie».
Mit Spielfreude, Temperament und Virtuosität wurde das Publikum durch ein Repertoire geführt, das neben Händel und Purcell auch Barockmusik von weniger bekannten Komponisten wie etwa Johann David Heinichen, Marin Marais, Jean-Féry Rebel, John Eccles und Reinhard Keiser einschloss.
Lang andauernder Beifall erschallte am Ende des Programms für das Ensemble Amarillis und für Stéphanie D’Oustrac. Für die Mezzosopranistin gab es einen enthusiastischen Applaus auch nach der Zugabe, der perfekt gesungenen, grossartigen Arie «When I am laid in Earth», aus Purcells «Dido and Aeneas».
Read more : Stéphanie D’Oustrac und das Ensemble Amarillis begeistern | zentralplus
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* Delightful recital of Stéphanie d'Oustrac at the Opéra de Rennes (Unidivers - Thierry Martin,16 octobre 2020)
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Délaissant les folies amoureuses de son dernier passage, c’est à des ambiances plus apaisées que notre interprète se consacre et le titre du récital « Idylles » est un assez bon résumé. De manière un peu contradictoire, Stéphanie d’Oustrac a bâti son récital autour de musiciens plus connus pour leurs emportements, à ne pas dire pour la violence de leurs propos que pour leur sagesse, mais en sélectionnant les moments de douceurs, de pure musicalité et même de méditation dont ils sont capables.
C’est vrai, la qualité de la musique de Gustav Mahler, d’Hector Berlioz ou même de Richard Wagner ne se mesure pas aux décibels et Stéphanie d’Oustrac va nous en faire la plus convaincante démonstration pendant les une heure et vingt minutes que durera le voyage musical auquel elle nous convie....
.... Stéphanie d’Oustrac qui nous ramène à la réalité avec les séquences contrastées et romantiques de « Nuits d’été pour mezzo soprano et orchestre » d’Hector Berlioz. Soyons honnêtes, elle y est parfaitement convaincante et nous offre une interprétation intelligente et habitée. Bien servie par une diction claire et soignée, elle nous conte une série de petites histoires qui vont de l’insouciance des amours printaniers, à la solitude et à la mort. Inspirées par six poèmes de Théophile Gautier extraits du recueil « La comédie de la mort » ces mélodies furent créées en 1841.....
Rudolf Piehlmayer, l’orchestre national de Bretagne et bien entendu, Stéphanie d’Oustrac, ont été chaudement et justement applaudis pour cette prestation plus que convaincante.
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Full article : RÉJOUISSANT RÉCITAL DE STÉPHANIE D'OUSTRAC À L'OPÉRA DE RENNES (unidivers.fr)
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* A beautiful show, innovative and different is well worth some rave reviews! This is the case for "Mon amant de St Jean - de Monteverdi aux années folles".
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"... Pour incarner toute cette riche palette, qui mieux que Stéphanie d’Oustrac. Icône baroque, divine tragédienne, elle déploie ici ses talents d’interprète pour insuffler une vie nouvelle à ces airs d’autrefois… et s’inscrire dans la lignée des grandes chanteuses populaires du 20ème siècle, « diseuses » légendaires, hors du temps. Elle fait aujourd’hui partie des mezzos les plus en vue de sa génération". (Artsixmic)
"... Stéphanie d’Oustrac se laisse porter au gré des ambiances, s’y plongeant avec une rapidité et une détermination impressionnantes. La voix, toujours maîtrisée, sait se faire tantôt dure, tantôt suave selon les situations et cela sur toute la tessiture sans jamais céder à la surenchère, pas même lorsque l’artiste déclame.
La diction précise et soignée permet de comprendre tous les textes, souvent complexes (Paul Marinier "D'elle à lui" ou le grivois "Les Nuits d’une demoiselle” notamment), sans jamais avoir à tendre l'oreille (laissant comme seul regret l'absence de sous-titres pour les œuvres baroques). La technicienne vocale, dans ce spectacle, s'amuse : qu'il s'agisse du yodel dans "Les Canards tyroliens" ou des graves outrés dans "Où sont mes amants ?", son aisance perceptible participe au plaisir d'écoute. Enfin, la richesse des couleurs sait donner à chaque émotion, à chaque personnage, une singularité. (Olyrix)
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Read the full article here : Stéphanie d'Oustrac et Le Poème Harmonique à Rouen : aux frontières du chant et du dire -... (olyrix.com)
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* Very nice article on Olyrix, about stephanie's return to the stage at the Orangerie de Sceaux, after the stop due to the Covid.
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"...Soirée d’une grande émotion avec la très touchante Stéphanie d’Oustrac et le pianiste Pascal Jourdan... t l’implication corporelle évidente de la chanteuse, sa grande générosité si manifeste, c’est tout cela et ce quelque chose qui n’appartient qu’à elle : une façon de s’imprégner si vite des ambiances musicales et dramatiques des morceaux, une façon de mettre en avant un mot plutôt qu’un autre, toujours avec une grande intelligence et sans jamais pousser l’émotion à la complaisance ou l’effet à une faute stylistique....
l’artiste se permet tout : nuances colorées, sons filés, graves tantôt outrés tantôt sourds et mélancoliques, sans jamais révéler de faiblesse technique, sans jamais s’absenter du personnage ou de l’histoire incarnés. Les spectateurs applaudissent longuement et avec entrain une comédienne protéiforme et un instrumentiste qui, comme elle, sait transformer une partition en grand moment de théâtre...."
Read the full article here : https://www.olyrix.com/articles/production/4346/stephanie-doustrac-mezzo-soprano-recital-musique-lyrique-classique-opera-melodies-airs-festival-orangerie-sceaux-pascal-jourdan-piano-article-critique-chronique-compte-rendu-2-octobre-2020
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* 2 beautiful articles on the last 2 CDs of Stephanie are to be read without reservation :
- Concerning "Une soirée chez Berlioz," Stephanie is accompanied by ancient instruments :
"...Ensuite – et surtout – des interprètes inattaquables. On loue sans réserve ce que Stéphanie d’Oustrac nous donne à entendre. D’une romance, d’une mélodie qui pourrait confiner à la mièvrerie, la mezzo-soprano française fait une scène d’opéra, un mini-drame ou une tendre confession. La perfection de la diction, de la narration épouse les moindres inflexions de textes qui ne sont pas toujours des sommets de poésie. Qu’importe ! On vibre, on s’émeut, on sourit…"
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Read the full article here : https://www.forumopera.com/cd/une-soiree-chez-berlioz-ou-sentendent-la-guitare-des-soirees-entre-amis-et-le-piano-des-salons
- Concerning "Portraits de la Folie", Stephanie is accompanied by the Amarillis ensemble :
"Stéphanie d’Oustrac a, depuis longtemps, franchi les frontières des terres baroques qui ont vu éclore son exceptionnel talent. Elle n’en est pas moins demeurée fidèle à ce répertoire.... la mezzo-soprano française retrouve cette fois, Héloïse Gaillard (Ensemble Amarillis) pour ces "Portraits de la Folie"... Tantôt enjouée, et peut-être grimaçante, tantôt éperdue, parfois furieuse aussi, le programme révèle les facettes les plus contrastées d’une Folie qui va, dès lors, bien au-delà de l’allégorie... l’artiste nous entraîne bel et bien, en dépit de l’effectif instrumental intime, au théâtre, et fait d’un air, d’un récitatif de cantate, une grande scène tragique.7
Puisant dans une palette dynamique et chromatique infinie, que porte à ébullition un vibrato palpitant, le trait, ample autant que précis, en français comme en italien se déploie en un geste expressif flamboyant, et néanmoins subtil. Sans doute parce que l’art de Stéphanie d’Oustrac est étranger à l’artifice et à l’afféterie, donnant à ces pages une immédiateté aux antipodes de ces précieux joyaux du temps jadis, que trop de mesure et pas assez de voix rendaient, sinon ennuyeux, du moins gentiment décoratifs.
La cantate Ah ! crudel, nel pianto mio de Haendel dépasse ainsi les conventions de la poésie arcadienne, pour mettre à nu la féminité blessée d’une héroïne digne d’Agrippina ou Alcina, grâce aux reliefs exacerbés d’un chant bouleversant d’authenticité. Et d’autant plus intense que le dialogue avec l’ensemble Amarillis, qui colle à son interprète fétiche comme une seconde peau, confine à l’alchimie."
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The full article is to be read in Opera Magazine : https://opera-magazine.com/news/stephanie-doustrac-portraits-de-la-folie/?fbclid=IwAR0Nrhvfao0qrjx8Wuutorwp3UrC90-Jc3exQhU0caqYV_ybTGHGF4GhI-k#news-5038
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* Here are some extracts from the reviews of "La Clemenza di Tito" at the Liceu in Barcelona, where Stephanie triumphed in the role of Sesto :
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- Archyde, a titré simplement : "Vote Stéphanie"
If it were an election campaign, the president of the function would be the French mezzo-soprano Stéphanie D’Oustrac by absolute majority. She received the loudest ovation after embroidering a simply perfect Sesto.
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- Pour crescendo magazine : Stéphanie D'Oustrac enflamme le Liceu avec La Clemenza di Tito
La véritable protagoniste de la soirée fut le mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac qui, en Sesto, faisait ses débuts au Liceu. Elle a réussi une performance sans faille : le foisonnement de couleurs de sa voix, l'intelligence musicale, l'élégance de ses coloratures et le soin incroyable apporté au jeu de ce « traître par amour » avec tout son poids de culpabilité, de regrets, d'émotions de toutes sortes qu'elle transmet avec une telle sincérité que le frisson nous prend lorsqu'elle chuchote à Vitellia, dans son grand air, les fameux « guardami... » en résumant tout l'amour du monde...
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- Pour le Barcelona Clasica : la grande gagnante est Stéphanie d'Oustrac
La gran triomfadora de la nit va ser sens dubte la mezzosoprano Stéphanie d’Oustrac, qui debutava al teatre de la Rambla. És la seva una veu rica, de sons acontraltats i un excel·lent sentit del drama i l’escena. Si en l’ària de l’acte primer meravellà per unes agilitats de perfecta factura, on realment commogué va ser en el seu rondó de l’acte segon, “Deh per questo instante solo”, un bell lament on l’artista semblava llagrimejar amb la pròpia veu. Brava !
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- Pour Nuvol : Stéphanie d'Ostrac a été le clou du casting.
Stéphanie d’Oustrac va ser l’element més destacat del repartiment. Una veu de mezzo lírica arrodonida, acolorida i ben projectada. Línia de cant expressiva i elegant. Va destacar en el duo inicial amb Vitelia així com en el gran monòleg del Finale Primo, després d’un Parto, parto que, va esdevenir un dels millors moments de la representació.
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- Pour "El Periodico" : Stéphanie D'Oustrac encandila al Liceu en 'La clemenza di Tito'
Stéphanie D'Oustrac encandiló como un Sesto de colores atractivos y cuidadas sonoridades en un debut liceísta bien recibido por el público.
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- Pour Scherzo : Stéphanie d'Oustrac fue la mejor del reparto
La mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac, en el papel de Sesto, fue la mejor del reparto, estuvo excelente en el rondó "Deh per questo istante solo" y el agitado recitativo que lo sigue
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- Pour Codalario, la revista de musica.
Stéphanie D’Oustrac se llevó el favor del público con su Sesto. La mezzosoprano exhibió un timbre oscuro de cierta morbidez aunado a un canto esmerado, de solida técnica, atento al detalle y de incisiva expresión, como demostró en la parte del primer acto «Oh Dei, che smania è questa». Ya en el segundo acto, la actuación de D’Oustrac alcanzó una notable intensidad en la escena «Deh per questo instante solo», que fue debidamente ovacionada por el público.
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- Pour OA Opéra Actual : Stéphanie D’Oustrac compuso un destacado Sesto
La mezzosoprano francesa especialista en ópera barroca Stéphanie D’Oustrac compuso un destacado Sesto, de voz elegante y musical, correctamente proyectada, que supo dar credibilidad al personaje del enamorado y del amigo traidor. Fue muy aplaudida en sus arias, incluyendo la famosísima “Parto, parto, ma tu ben mio”.
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- Pour La Vanguardia
La mezzo Stéphanie d’Oustrac –la más ovacionada en los cinco minutos de aplausos finales– en el papel de su enamorado Sesto que se ve forzado a traicionar a su emperador y canta: “No sabía que ser malvado fuera tan difícil”
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* Links leading to 2 articles congratulating the concerts "Eclats de Folie" with Stéphanie and the ensemble Amarillis
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* Below, a extract of the criticism by Olyrix, on : "Les Nuits d'été of today and yesterday at the Berlioz Festival". Incredible interpretation by Stéphanie in Berlioz or Lavandier in a world creation
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- "La ligne vocale suit la diversité d’écriture, avec beaucoup de notes tenues et des passages qui mettent en valeur le haut registre de Stéphanie d’Oustrac. Reconnue pour son expressivité, la mezzo-soprano française chante les deux versions des Nuits d'été avec un timbre doux et léger, démontrant les finesses de l’articulation du texte et des notes, accentuant avec soin la couleur de la composition. Elle maîtrise le souffle et l’intensité vocale est constamment équilibrée avec celle de l’orchestre, tissant des phrases cadencées à l’intonation sans failles. Le comble (dans la délicatesse caressante) de son interprétation arrive avec Absence". (Olyrix.com)
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* 2 versions of Hippolyte et Aricie by Rameau, one staged in Zurich, the other in Paris:
common point, remarkable critics.
- "Dabei konnten sich Dirigentin und Regisseurin auf herausragende Sängerdarsteller verlassen.... So Stéphanie D'Oustrac als von ihrer Liebe zum Stiefsohn besessene Phèdre. Stéphanie D'Oustrac sang die Phèdre mit dem gebotenen Furor in ihren Racheschwüren, aber vermochte auch zu berühren in ihrer Verzweiflung über die unerwiderte Liebe zu Hippolyte." (oper-aktuell.info)
- "Singing-wise, Zurich again is able to attract top talent for this repertoire. Opening night showed the coquettish, hateful prowess of Stéphanie d’Oustrac as Phèdre, her voice lush and pointed as she plotted then scorned, capable of much tenderness amidst the wrath." (seenandheard-international.com)
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- Est-il concevable d’envisager aujourd’hui Phèdre autrement que chantée par Stéphanie d’Oustrac, avec dans la présence comme dans la voix, une grandeur tragique, des inflexions blessées, une expression dont la vérité ne s’exerce jamais au détriment du style. (Forum Opéra pour Zurich)
- "Stéphanie d’Oustrac habite avec véhémence et tempérament le personnage de Phèdre. En tragédienne, elle fait pleinement ressortir les multiples aspects de ce personnage ambigu, entre la déploration sur son amour non partagé et la soif de vengeance. Sa voix de mezzo frappe par sa largesse et la variété de ses couleurs". (Olyrix pour Paris)
- "La distribution de très belle tenue est incontestablement dominée par l’Hippolyte juvénile et lumineux de Cyrille Dubois et la Phèdre incandescente de Stéphanie d’Oustrac. Tragédienne née, elle habite son personnage avec une telle conviction qu’elle séduit tant dans la rage exprimée que dans les accents éplorés. Son expérience consummé du récital et de la mélodie française confère incontestablement à son interprétation l’art de sculpter les mots." (Forum Opéra pour Paris)
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- "Pour tout chanteur, passer d’un investissement théâtral au simple concert est un exercice périlleux… Cependant, Stéphanie d’Oustrac donne à Phèdre une épaisseur appréciable qui transcende le livret plutôt simpliste de l’abbé Pellegrin. L’humanité que lui inspire son amour pour Hippolyte, ses effrayants remords à l’annonce de sa mort supposée, la violence de ses éclats lorsqu’elle s’oppose à son beau fils composent le portrait d’une héroïne aveuglée par la haine et le désir. Le talent remarquable de Stéphanie d’Oustrac est de réinventer une manière d’hystérie stylisée qui jamais ne dépasse les propositions de l’écriture. La projection et la présence scénique sont proprement impressionnantes, la prestation vocale incandescente, la folie de la scène finale laisse bouche bée. (bachtrack)
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* New location, a remarkable new critic for Stéphanie and her interpretation of Strauss's Lieds at
the Philharmonie de Paris. (Olyrix).
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- "La mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac envoûte le public par son imposante présence scénique, qui développe une voix chaude et ronde. Douée d’un caractère dramatique mais aussi de souplesse vocale, sa ligne se mêle pleinement aux sonorités vives et fortes de l’orchestre notamment dans son registre le plus grave, bien résonnant."
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* Read, the superb critic by Brigitte Maroillat, published in Forum Opera,, as well as that
of François Lesueur for Concert Classic following the recital by Stéphanie at Elephant Paname.
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* Olyrix published a nice article following the recital given by Stéphanie at the Capitole de
Toulouse. Find the article here :
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* Here are some extracts from articles published following the release of Stéphanie's new CD, "Sirènes".
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- operatoday : http://www.operatoday.com/content/2019/02/stphanie_doustr.php?fbclid=IwAR020eNGqPwVbU1j4sYavv-rrkHymBwYK44nEXJddrevTIPZMxO3RuSb7lg
- Classical-iconoclast : https://classical-iconoclast.blogspot.com/2019/02/stepahne-doustrac-sirenes-berlioz.html?fbclid=IwAR2tpJsKy9x3qohAjGQdBcimK2ZT-rh0FhnXlgArGtV32GsR4iQ_dEU_iSk
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- Télérama : On vient de l’admirer en rageuse et bouleversante Cassandre à l’Opéra Bastille, dans Les Troyens, d’Hector Berlioz. La voilà qui chante Les Nuits d’été, du même Berlioz, au cœur d’un récital d’un romantisme flamboyant, où l’on trouve aussi Franz Liszt, et Richard Wagner. Le timbre de Stéphanie d’Oustrac, raffiné, ambré, légèrement corsé, dégage une forme de clarté lunaire, qui envoûte plus sûrement qu’un philtre sorcier. Excellente diseuse, la mezzo-soprano sait prendre des accents de tragédienne, qui siéent au caractère souvent dramatique des pièces chantées. Si les lieder de Liszt sont de toute beauté, si le duo (Stéphanie d'Oustrac/Pascal Jourdan) trouve, dans les six mélodies des Nuits d’été, le juste dosage d’ironie, de nostalgie et de douce mélancolie requis par les poèmes de Théophile Gautier, le sommet du disque est atteint avec les crépusculaires Wesendonck-Lieder de Wagner.
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- Opéra Magazine : (…)Stéphanie d'Oustrac a retenu 6 lieder de Liszt, tous en langue allemande... l'articulation soignée de la mezzo française et son sens du drame font merveille dans Die Loreley, merveilleuse page aux humeurs étagées….
Les Nuits d'été, données ici dans la version originale pour mezzo-soprano et piano balayent la concurrence. On se souvient des enregistrements de Janice Taylor et, surtout, d'Isabelle Vernet, mais Stéphanie d'Oustrac les surpasse aisément par l'intelligence dramatique qu'elle met dans son interprétation. La manière dont elle aborde Le Spectre de la rose et Sur les lagunes est riche d'intentions poétiques, et on sent à plusieurs reprises la chanteuse impatiente de se glisser dans le tissu orchestral de Berlioz...
Mezzo agile, Stéphanie d'Oustrac ne se contente pas de froidement déclamer cette mélodie, elle donne de la chair à chaque mot, à chaque situation...
La chanteuse nous offre un Schmerzen véhément et un Im Treibhaus où la serre devient un lieu d'enfermement cérébral, étouffant les sentiments et les pensées. Le commentaire vaut aussi pour La Mort d'Ophélie de Berlioz, qui n'a rien ici d'une ballade mélancolique mais prend les couleurs d'une déploration vocale passionnée.
Tous ces tableaux, Stéphanie d'Oustrac nous les offre avec une imagination quasiment scénique qui fait le prix de cet enregistrement.
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* "Les Troyens" by Berlioz at the Opera Bastille has marked the beginning of 2019 ... Despite a highly controversial production, critics hailed the talent of the artists. Here are some of the Stephanie's reviews.
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- Olyrix : "Si le personnage de Cassandre est habillé d’un costume trop grand pour elle, la caractérisant en adolescente rebelle, le rôle est en revanche à la taille de Stéphanie d'Oustrac, ovationnée à la fin de la première partie. Soutenue par une diction soignée, un legato bien conduit et un appui sûr, elle projette une voix chaude et légèrement vibrée (qui ressort sans difficulté en contrepoint du chœur), fine et pure dans l’aigu, tantôt dure, parfois douce, toujours intense."
- ClassiqueNews : "(…) à Troie le personnage de Cassandre est le chef de file. Brillamment interprété par le mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac. Convaincante, la maîtrise impressionnante du souffle, et une expression incarnée, d’une dignité troublante, bouleversante de beauté. Son duo "Quand Troie éclat" avec Stéphane Degout est tout simplement magnifique, voire sublime. Le finale du 2e acte est tout simplement époustouflant. Nous avons encore des frissons de frayeur. Inoubliable dans tous les sens."
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- Opéra Magazine : (…) Et puis, il y a Stéphanie d’Oustrac qui, pour sa première Cassandre, renouvelle entièrement le personnage. Elle le doit autant à elle-même qu’aux idées de Tcherniakov, qui ne peut pas s’empêcher de lui faire allumer une cigarette au moment où le cheval est introduit dans la ville. Habillée de jaune, plus fille insoumise que vierge folle, elle n’a pas une voix volumineuse, mais il y a chez elle une incandescence qui balaye tout. La fin du II, où elle entraîne les femmes troyennes au suicide en avançant avec elles jusqu’à l’avant-scène, est un moment panique et euphorique irrésistible.
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- Artistikrezo : https://www.artistikrezo.com/musique/les-troyens-opera-magistral-de-berlioz-a-bastille.html
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- Bachtrack : "Stéphanie d'Oustrac's wiry mezzo made for an impressive Cassandre. A compelling actress, well versed in Tcherniakov technique, she was easily the most rounded character on stage."
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- Alain Duault pour Opera-Online : "(…) Tout est vif, tendu, scéniquement et musicalement, porté en particulier par l’ardente Stéphanie d’Oustrac qui brûle littéralement les planches avant d’entrainer les Troyennes dans le feu. Elle a la présence mais elle a aussi la voix fuligineuse d’une grande Cassandre (...) : elle reçoit une ovation à la fin de cette Prise de Troie, c’est justice".
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- FranceInfo : "Le triomphe de d'Oustrac" - https://culturebox.francetvinfo.fr/voyageur-de-notes/2019/01/28/a-lopera-bastille-les-troyens-de-berlioz-dans-une-mise-en-scene-qui-divise-le-public.html
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- ResMusica : "...la Cassandre de Stéphanie d’Oustrac, engagée, juvénile, élégante, brillante comédienne, brûlant les planches à tous niveaux, rayonnante jusqu’aux saluts, elle est la figure de proue de la soirée."
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- Le Monde : "On peut compter sur la Cassandre de Stéphanie d’Oustrac. A la mesure d’un rôle écrasant qui sacrifie à l’utopie vocale, la mezzo française outrepasse la beauté du son pour la vérité d’un personnage, qu’elle mènera vocalement et psychologiquement aux limites".
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- giornaledellamusica.it : "Fra chi canta, si impongono le due protagoniste femminili, festeggiatissime dal pubblico con molte ovazioni e chiamate: Stéphanie d’Oustrac è un’intensa Cassandra capace di infondere la necessaria tragicità al personaggio"
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- plateamagazine : "Quizá la artista más ortodoxa de todo el elenco fue la mezzosoprano francesa Stéphanie D´Oustrac, prestando su voz a la parte de Cassandre. Si bien sus medios quedan algo cortos en la gran sala de Bastille, d´Oustrac se mueve como pez en el agua con este repertorio y la parte en cuestión se adapta como un guante a su noble expresividad, con un aire trágico extraordinario. Lo mismo sucede con su implicación escénica, perfectamente mimetizada con las directrices de Tcherniakov."
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- radionotredame.net : "Cassandre (Stéphanie d’Oustrac) prophétesse enragée, impressionnante qui, avec une voix somptueuse, nous plonge dans un climat tragique. Le duo d’une beauté incroyable de Cassandre avec Chorèbe son fiancé, (Stéphane Degout) feront partie dorénavant des moments mythiques de l’opéra."
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- But also :
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* Pour France Musique, le classique club, "le Club des critiques" du vendredi soir avec les critiques d'Opéra Magazine et du Figaro : "beaucoup de musicalité" ... "dimension, force tragique et puissance" ... "fascinante scéniquement" ... "vocalement <elle> - Stéphanie d'Oustrac - chante très très bien avec un excellent français"... "grande actrice, grande chanteuse"...
* Pour Concertclassic : "Stéphanie d’Oustrac, magnifique Cassandre de caractérisation et de projection déliée...",
* Pour Classisagenda : "... Stéphanie d'Oustrac trouve de vrais accents de tragédienne qui bouleversent dans la scène du suicide des Troyennes."
*Pour Andika de nombreux superlatifs :"Merveilleuse... Superbe.... Saisissante... Stéphanie d'Oustrac",
* Pour weekend Les échos : "Stéphanie d'Oustrac mérite son ovation pour sa Cassandre farouche et entêtée."
* Pour diapasonmag : "Par la noblesse de sa déclamation, Stéphanie d'Oustrac impose, pour sa première Cassandre, un personnage touchant"
* Pour le Financial Times : "Stéphanie d’Oustrac’s wonderfully intense Cassandre…."
* Pour Altamusica : "Le plateau est dominé par Stéphanie d’Oustrac, dont l'énergie et l'engagement épousent la puissance du théâtre sanguinaire de la première partie."
* Pour le New-York Times : " In “Les Troyens,” only the mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac, as Cassandre, seemed at ease penetrating the orchestra and filling the hall."
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* Here's a very interesting interview with Stéphanie by concertclassic.com as part of Berlioz's highly anticipated opera "Les Troyens" in Bastille.
As well as a second for Olyrix, as exciting, about "Les Troyens", but also about her feelings, her voice, her projects ....
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- Concert Classic : http://www.concertclassic.com/article/une-interview-de-stephanie-doustrac-emprunter-des-chemins-de-traverse-est-passionnant
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* Find below 3 extracts of reviews of the oratorio "L'enfance du Christ" by Berlioz given on December 14th, 2018 with the TCE.
- Here's Brigitte Cormier beautiful article on: "Un captivant comte de Noël" for Opera Forum
- Thibault Vicq's enthusiastic article on “L'Enfance du Christ apaise le TCE ...” for Opera-online
- Finally Christophe Abramowitz writes for Toute la Culture.com with : "Une Enfance du Christ sans contretemps au TCE".
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- Forum Opéra : "(...) Les quatre chanteurs solistes méritent des éloges. - Bernard Richter, Edwin Crossley-Mercer, Nicolas Testé et Stéphanie d’Oustrac - … Aimante, maternelle et humble, Stéphanie d’Oustrac ne se contente pas de trouver de jolies inflexions, elle vit intensément le personnage de Marie. Quand elle sent son enfant menacé, sa voix chaude de mezzo laisse échapper des cris déchirants « Oh ciel mon fils ! ». Ses duos avec Joseph sont toujours émouvants et profondément ressentis de part et d’autre..."
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- Opera Online : "(...) Stéphanie d’Oustrac, en pleine période Berlioz (récemment en Cléopâtre à la Philharmonie de Paris et bientôt en Cassandre à l’Opéra national de Paris), prend plaisir à incarner Marie, initialement plus introvertie, jusqu’à accorder ses intonations avec un langage parlé dans L’Arrivée à Saïs. Les piano et les crescendos se livrent sans trouble et convoquent l’émotion d’une voix si prenante….
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- Toutelaculture.com : "(…) distribution vocale de grande qualité…. Stéphanie d’Oustrac incarnait Marie et avec quel éclat miraculeux ! D’abord emplis de bonheur devant son enfant, ses yeux s’obscurcissent quand des anges viennent lui annoncer qu’on veut la mort du nouveau-né. Son chant passe ainsi de la délicatesse à l’ardeur désespérée — à la faveur d’une diction plus incisive et de couleurs funèbres dans la voix —, jusqu’à renouer au terme de l’œuvre, dans le calme retrouvé, avec une grâce bienheureuse.
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* Below are some extracts from Laurent Amourette's review of Classicagenda, "all Mozart" recital given by Stéphanie at TCE on November 8, 2018. A wonderful moment highlighted in this article.
An article by Gabriel Marie d'Avigneau for Olyrix: "Mozart et d’Oustrac : le charme opère au Théâtre des Champs-Élysées". The link is below ....
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Classicagenda : "(...) il faut bien de l’audace pour programmer un récital entièrement dédié à Mozart. Mais heureusement, l’affinité mozartienne de Stéphanie D’Oustrac ne date pas d’avant-hier. D’ailleurs, le programme de ce concert est fort intelligemment construit comme une sorte de condensé des rôles actuels et passés de la chanteuse....
(...) On se souvient du bouleversant Sesto qu’elle incarnait au Palais Garnier fin 2017. Retrouver en récital cette justesse d’incarnation relève du grand art. Car il faut bien parler d’art lorsqu’il s’agit de Stéphanie d’Oustrac. Ce qui fascine chez elle, c’est l’intelligence remarquable de la musicienne. La caractérisation des personnages naît d’une respiration signifiante, de la subtilité d’un phrasé, d’un ralenti sur un mot, d’une attention permanente au texte, du souci du détail musical…
(...) Stéphanie D’Oustrac parvient à se fondre en un clin d’œil dans des affects extrêmement variés. Elle devient une Zerlina délicieusement mutine... ainsi qu’une poignante Elvira où la vocalise se mue peu à peu en un long sanglot... L’air de concert « Ch’io mi scordi di te » installe un magnifique dialogue entre la mezzo et le piano fluide et délicat de Pascal Jourdan......."
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* D’Oustrac’s brilliant Carmen provides the highlights at Dallas Opera (Texas Classical Review). Find the extract of the article on Stéphanie's performance of Carmen.
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"Mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac sang the title role with a gorgeous, multi-faceted voice, ranging from dusky and dark to pristine clarity. (Among other dramatic and vocal tricks, she delivered her opening aria, “L’amour est un oiseau rebelle,” while apparently eating an orange.)
Dramatically, she conveyed an entrancingly multi-faceted Carmen—not an id-driven seductress, but a woman motivated by a deep love for Don Jose. Her Carmen eagerly prepared, almost schoolgirl-like, for his arrival in Act II, and seemed genuinely heartbroken by his impulse to place duty over love. Even in the final scene, she conveyed not just the famous bravery and boldness of Carmen, but the vulnerability as well, becoming almost as crazed with love and doubt as Don Jose.
D’Oustrac’s principal colleagues supported adequately but never quite emerged as her equal…"
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*Stephanie d'Oustrac, stunning as Cleopatra at the Philharmonie de Paris (Opera-Online). Here is an introductory sentence that sums up perfectly the incredible feeling that "invades" us after the last note of Berlioz's "La mort de Cléopatre" !
….. Stéphanie d’Oustrac porte la toge de la reine d’Egypte et concentre dans son regard intense la colère et le désarroi, alors que le reste de son corps est figé... La mezzo montre la souffrance, les regrets et la fierté, au même titre que la limite ambigüe entre les portes de la mort et ses questions tourmentées. Elle écosse les sons et leur laisse une enveloppe de nacre, son vibrato épouse exactement les coutures instrumentales. La projection est facile, la seule bataille que Stéphanie d’Oustrac mène est celle pour l’honneur de Cléopâtre. Le souffle des derniers mots susurrés complète la réflexion sur la mort …. (article complet : https://www.opera-online.com/fr/columns/thibaultv/stephanie-doustrac-siderante-cleopatre-a-la-philharmonie-de-paris)
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* Exceptionally, there's no links to the articles but here's what they said about Stephanie's performance in Salzburg in "L'Incoronazione di Poppea" as Ottavia
- Forum Opéra : "La belle Stéphanie d’Oustrac donne au rôle d’Ottavia plus de noblesse, de tendresse et de rondeur que ce qu’on entend d’habitude….. Vient ensuite le monologue d’Ottavia quittant Rome, où Stéphanie d’Oustrac est magistralement émouvante….."
- Financial Times : "Stéphanie d’Oustrac rages as the spurned empress Ottavia"
- Diapason : ….. "Mais l'incarnation la plus complexe de la soirée, entre désespoir, rage et remords, c'est à Stéphanie d'Oustrac qu'on la doit, Ottavia sculpturale, coulant ses adieux à Rome dans l'airain d'une déclamation souveraine"
- Bachtrack : "Stéphanie d’Oustrac was Ottavia, Nero’s spurned wife. She gave a perfect portrait of the outraged, humiliated aristocrat, with a strong, beautiful voice and dramatic accent. Her “Addio Roma” was moving and emotional."
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- Salzburg 24 : « Danach regnete es Applaus für die Sänger – neben Yoncheva und Lindsey wurde Stéphanie d’Oustrac als furiose Ottavia bejubelt » soit en français : "Les applaudissement pour les chanteurs pleuvent ensuite – aux côtés de Yoncheva et de Lindsey, Stéphanie d’Oustrac en furieuse Ottavia est acclamée".
More complimentary reviews about Stéphanie / Ottavia ... .. for Salzburg and Zurich : http://www.intermezzo-management.com/language/fr/critiques-du-couronnement-de-poppee/
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* Find below, 2 links to reviews for Monteverdi's "L'incoronazione Di Poppea", given at the Zurich Opernhaus in June / July 2018.
- The title of the article "Sex, Violence and Beauty" is a good summary of the vision and
staging of Calixto Bieito and the article highlights the commitment of the artists. (text in
English)
- "Oustrac, Fuchs, Galou : a perfect combination for Poppée" in Zurich, here is another description by ResMusica of Poppée staged by Calixto Bieito
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http://www.resmusica.com/2018/07/13/oustrac-fuchs-galou-un-trio-denfer-pour-poppee-a-zurich/
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* Finally an extract from the criticism written in the monthly "Opera Magazine" of September 2018 :
"Il faut enfin, s'incliner très bas devant Stéphanie d'Oustrac, la plus grande, sans doute, de nos tragédiennes lyriques, quels que soient la langue ou le répertoire, par la dignité d'un velours hautement inflammable, dans lequel son Ottavia puise les ombres et reliefs infinis d'une déclamation frémissante entre toutes".
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* A number of articles have been published concerning "Werther" of the Opéra in Nancy, including the Figaro, Olyrix, OperaOnLine, Resmusica and L'Est Républicain ..... All of them agree on the beauty of this opera and the remarkable performances of the artists,
especially Stéphanie and Edgaras Montvidas ... Click on the links below.
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http://toutelaculture.com/spectacles/opera/werther-elegant-bien-voix-a-Nancy/
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* An interview with Stéphanie d'Oustrac before playing Charlotte in Werther for the first time, at the Opéra in Nancy from May the 6th , 2018. To discover more, you can also listen to another interview on France Musique ...
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* Newspaper. The link below will lead you to an article gathering different critics about the roles performed by Stéphanie, whether "Sesto", "Carmen", "Médée", "La Muse/Nichlausse", "Béatrice" and "l'Aiglon".....
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http://www.intermezzo-management.com/language/fr/stephanie-doustrac-revue-de-presse/
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* A "Barbier de Séville" stunning performance at the Marseille Opera .... February 2018, a
remarkable distribution for this "Barbier" where Stephanie shone as a mischievous Rosine. 2 articles that pay tribute to this deserved success.
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* La Clémence pour Titus : le sacre des impératrices à Garnier (2017). Mozart at its best
remarkably interupted, particuarly by Stéphanie.
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* Stéphanie d'Oustrac singing Mozart. An interview from October 2017 shown on Polish
television with Stephanie just before her concert "La Clémence de Titus".
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https://www.youtube.com/watch?v=UqCflM_RWQ4
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* Stephanie talks about playing Carmen (video). Interview given in 2017 at the Aix en Provence Festival where Carmen staged by Dmitri Tcherniakov gave rise to much debate …
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https://www.youtube.com/watch?v=laf518-N0TQ&t=169s
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* Stéphanie d'Oustrac, the triumph of a Medea between farce and tragedy ... a dazzling
interpretation !
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* Stephanie enjoys visiting the Nantaise Tesson fashion house to try on the beautiful dress she will wear to interpret the Séguedille Carmen for the Victoires de la Musique Classique 2017 (video).
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https://www.youtube.com/watch?v=LvamVc216x8
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* "Une invitation au voyage" a powerful and poetic album. Stephanie does
not only perform on stage, she's also recorded some wonderful albums, that will transport you elsewhere. Here is an article and an interview with Stephanie talking about the recording of her albums.
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https://culturebox.francetvinfo.fr/opera-classique/musique-classique/stephanie-d-oustrac-une-invitation-au-voyage-en-puissance-et-poesie-208873
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* At the Bastille Opera, a Hoffmann can hide another .... Interesting article on Offenbach's “Les contes d'Hoffmann”, where Stephanie distinguished herself in the dual role of the Muse and Nicklausse !
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* Béatrice and Bénédict by Berlioz. 2016 was the year of this opera for Stephanie who
performed it in Brussels and Glyndebourne. 2 very different stagings, but the same talent !
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https://www.forumopera.com/beatrice-et-benedict-bruxelles-la-monnaie-berlioz-recompose
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https://www.forumopera.com/beatrice-et-benedict-glyndebourne-viree-en-boites
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* "Stéphanie d'Oustrac, intense Aiglon à l'Opéra de Marseille". In early 2016, at the Marseille Opera, Stéphanie d'Oustrac gave an intense performance of the Duke of Reichstadt, otherwise known as the Aiglon.
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* Proust Questionaire. Get to know Stéphanie better by reading her answers.
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https://www.forumopera.com/actu/questionnaire-de-proust-stephanie-doustrac
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* Les bouleversants états d'âme de Stéphanie. A beautiful article confirming Stéphanie d'Oustrac talent as a great Mezzo Soprano.
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http://www.resmusica.com/2015/12/16/les-bouleversants-etats-dame-de-stephanie-doustrac/
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* La clémence de Titus at the National Rhin Opera, directed in 2015 by Katharina Thoma. Don't hesitate to read Stéphanie's interview and the article.
https://www.opera-online.com/fr/columns/manu34000/la-clemenza-di-tito-a-lopera-national-du-rhin
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* Stéphanie d'Oustrac, voix humaine, heart touching voice . Article written in 2015 by Dominique Adrian shortly before the performances of Haendel's Theodora, where he traces the vocal and artistic evolution of "our" favorite mezzo.
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https://www.opera-online.com/articles/stephanie-doustrac-voix-humaine
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* Stephanie "opens her heart" in a beautiful interview where she talks about some of her most beautiful roles.
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* 2 choices, 1 answer. (Video of 2014) ... To discover Stephanie's true nature sometimes
serious, sometimes funny sometimes surprising :
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https://www.youtube.com/watch?v=YxAJjHDhJLQ&t=253s
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* "Pelléas et Mélisande" in Nantes in 2014. No false notes for Stephanie's first time as
Melisande.
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http://www.telerama.fr/musique/a-nantes-un-pelleas-et-melisande-tout-en-subtilite,110460.php
http://www.lefigaro.fr/musique/2014/03/28/03006-20140328ARTFIG00010-un-pelleas-a-petite-allure.php
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* Review of "La Clémence de Titus" in 2013, with Stephanie in the role of Sesto. A role she
played again with pleasure and success in 2017
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http://www.resmusica.com/2013/11/30/stephanie-doustrac-illumine-garnier-dans-la-clemenza/
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* Cosi fan tutte et Mozart… Watch a short video from 2013 where Stéphanie talks about her role in Cosi fan tutte (Dorabella) and Mozart's place in her career.
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https://www.youtube.com/watch?v=_QzHd4E7Ou4
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* Stéphanie d'Oustrac, the art of the game - 2013. An interesting article and interview with
Stéphanie before her interpretation of 2 Mozart roles: Dorabella in "Così fan Tutte" and Sesto in "Clémence de Titus".
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http://www.cadences.fr/articles/lecture/stephanie-d-oustrac-l-art-du-jeu.html?IdArt=36
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* 2012, DVD release of "L'Heure espagnole" and "L’Enfant et les sortilèges" filmed at the
Glyndebourne Festival ... An enthusiastic article on this release where Stéphanie's talent
is in the limelight.
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* The first time for Stéphanie in the role of Mother Mary in "Le dialogue des Carmélites" by
Poulenc's. An unforgettable performance of this difficult and vocally demanding opera
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http://benitopelegrin-chroniques.blogspot.fr/2011/04/dialogues-des-carmelites-t-exte-de.html
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* Stéphanie d'Oustrac, the voice of Poulenc. A short interview just before going on stage
for “la Voix Humaine” by Poulenc inspired by Cocteau ..... plus 2 articles on Stephanie
Oustrac's magistrale performances !
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http://www.resmusica.com/2012/12/21/stephanie-d’oustrac-une-humaine-voix/
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* “Atys” by Lully, the magic remains intact ! 2011 release of the DVD filmed at the Lully Opera where Stephanie played the role of Cybèle. Described as impressive, powerful and touching.
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* "A Carmen was born in Lille" title of the article in the Monde. For Forum Opera it was
"An event and an advent", for Sortir the Hauts de France described it as « a revelation » . It's in these laudatory terms that the press presents Bizet's Carmen at the Lille Opera. It marked the turning point in Stephanie's career.
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https://www.forumopera.com/spectacle/un-evenement-et-un-avenement
http://hautsdefrance.sortir.eu/articles/stephanie-d-oustrac-la-revelation
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* "I need a role that challenges me". This is what Stephanie said in an interview in 2010 just before her performance of Poulenc's "La Voix Humaine" and Bizet's Carmen (in Lille):
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* "As if by magic …" 2008 is Armide's year, on Lully's magnificent work. Release at the
same time a DVD with a breathtaking, sensual, furious, capricious Stephanie .... in a word
brilliant !
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https://www.forumopera.com/dvd/comme-par-magie
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* " La Belle Hélène in Strasbourg, the Gods of Hollywood". Since 2006 Stephanie has
played Hélène with talent in Offenbach's opera bouffe.
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Resmusica : "Stéphanie d’Oustrac endosse les robes fourreaux de la sculpturale Hélène.... elle développe les couleurs fauves de sa voix de mezzo, à l’ambitus parfaitement adapté au rôle, et joue de ses conséquents talents d’actrice et de sa plastique avantageuse pour incarner une Hélène séductrice en diable, très extravertie et un peu foldingue.
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